mercredi 1 juillet 2009

Dans la lune

Je ne savais pas que la lune servait à autre chose que ;
- permettre à des américains d'aller faire une marche (pacifique pour une fois) dessus
- influencer les marées et les menstruations de baleine (elle est vieille mais il y a peut-être des jeunes qui ne la connaissent pas encore ou des vieux qui ne s'en souviennent plus)
- illuminer les amoureux de son clair et ma ligne de vie de façon plus obscure
- éclipser le soleil et provoquer la cécité chez les ignares et les négligeants
- être prêt de nous dans la carte du ciel
- accueillir nos pensées quand nous avons la tête ailleurs
- je m'arrête ici mais je vous laisse de la place
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Si vous manquez d'espace, réfugiez vous dans les commentaires, ça fait toujours plaisir et si vous manquez d'air composez le 911.

Vous pensez peut-être que je me suis trompé de blogue. Mais non mes petits cocos.
Tout ce détour pour en arriver au magnifique livre de Michio Kaku intitulé (le livre pas Michio Kaku) "Physics of the impossible" et dont le titre français n'existe pas plus que la traduction (du moins au moment de me taper ces lignes).
J'y ai donc appris, et je vous refile le tuyau, que la Lune a au moins une autre utilité, elle stabilise l'axe de la Terre. Cela veut dire que la planète pourrait vasciller sur cet axe (on mentionne entre 0 et 54 degrés, mais je n'ai pas vérifié les calculs) et l'actuel Pôle Nord pourrait se retrouver au niveau de Montréal-Nord et non seulement provoquer de nouvelles émeutes mais avoir une telle influence sur les conditions climatiques que la vie à la surface de la planète deviendrait impossible.

la récidive du désaxé

3 commentaires:

Daniel Paillé a dit…

Très bien!

Nanou La Terre a dit…

Bon.
Faut pas paniquer...Super.
Première visite chez toi et.. tout va très bien.Heureuse d'avoir eu le courage d' atterrir chez toi, enfin... Aucun regret, vraiment.

Voyou, et pourquoi donc? Explication...

le neurone ectopique a dit…

@ Daniel : merci de tes encouragements
@ Nanou : bienvenue, rien pour paniquer ici. Mais dis-moi, à quel voyou fais-tu allusion ?

le reconnaissant et le perplexe