jeudi 24 mars 2011

Toujours dans la LNH

C'est avec un plaisir démesuré que je vous annonce que suite à une recommandation de son nouveau médecin-chef, Mark Recchi, la LNH vient de suspendre Max Pacioretty pour le reste de la saison régulière et la première ronde des séries éliminatoires pour avoir malicieusement simulé une commotion cérébrale et cherché noise à Zdeno Chara qui, à titre de compensation, se verra décerner un certificat cadeau de 5$ (canadiens, soyons sérieux) chez McDo.
Toute demande de révision de cette décision sera immédiatement rejetée par le grand inquisiteur de la LNH, Don Cherry.


la face dans la bande

mercredi 9 mars 2011

Quelque part dans la LNH

Si quelqu'un avait un peu plus le sens de la justice que celui du marketing, un joueur, quel qu'il soit, qui en blesse un autre ne devrait jamais être autorisé à revenir au jeu avant que sa victime ne soit en mesure de le faire.

Max Pacioretty

samedi 5 mars 2011

vire-capot

J'en connais un qui va, enfin, s'en réjouir mais le neurone a finalement décider de virer son capot de bord.
Il quitte le rang des agnostiques pour rejoindre celui des athées.
La différence est mince mais elle a fait l'objet de nombreuses discussions entre Lurch et moi.
L'argument qui me maintenait du côté des agnostiques est l'impossibilité de prouver que dieu n'existe pas.
Dans une certaine mesure, cet argument est encore valable.
Néanmoins, j'ai fini par admettre que les arguments en faveur de son existence sont trop minces pour lui accorder le moindre crédit.
D'abord, le créationisme.
Qu'un dieu puisse avoir créé l'univers ne voudrait dire qu'il a allumé la mèche du Big Bang.
Big deal !
L'hypothèse du créationisme repose strictement sur la foi. Pas le moindre degré d'évidence à se mettre sous la dent : zéro pour la question.
Et une fois le bataclan déclenché, plus aucune trace concrète d'une intervention divine.
Un autre beau gros zéro.
La principale raison d'invoquer l'existence de dieu est l'espoir d'une vie éternelle pour laquelle je n'ai pas le moindre intérêt.
Finalement, la dualité bien/mal représentée par le duo dieu/démon avec pour perspective finale l'issue ciel/enfer est pathétique.
Un dieu tout-puissant incapable de vaincre le diable.
Un dieu d'amour qui précipite les infidèles dans les flammes éternelles.
Où sont les frères Grimm ?

la recrue d'essence