jeudi 23 avril 2009

La suite du lendemain

J'essaie de reprendre le fil là où je l'ai laissé hier.
Dans le commentaire que j'essaie (ce billet prend des allures de salle d'essayage) à mon tour de commenter, le commentateur utilise le mot certitude là où (ne pas confondre avec Yahoo) j'emploierais plutôt le mot conviction.
Néanmoins, la définition du dictionnaire tend à lui donner raison. Le fanatique, quelle que soit sa dénomination, a effectivement effacé de sa conscience toute trace de doute.
Malheureusement, comme je l'écrivais hier, l'absence de doute n'offre aucune garantie de vérité.
Et renoncer au doute ferme les portes de l'esprit à toute alternative à ce que l'on perçoit comme une vérité.
Comment convaincre un kamikaze qui s'élance avec son avion sur un navire américain que Pearl Harbor est une erreur monumentale dont une de conséquences sera la destruction massive d'Hiroshima.

la tenue de l'impossible

1 commentaire:

Anonyme a dit…

La vérité est trop souvent la première victime de la certitude.