lundi 27 août 2007

panspermie

Suite aux commentaires de Mazz et Lurch sur mon billet : trop loin, je me permets de me livrer à une de mes activités préférées, le radotage (ce n'est pas que je sois si vieux, mais je prends de l'avance au cas où je mourrais (relativement) jeune)).
Je crois effectivement en une forme de panspermie parce que je crois que le chemin qui mène à la vie réside dans la structure même de l'atome et de ses constituants éventuels. Au niveau atomique, le carbone mène à la vie et ce partout à l'échelle de notre univers : je n'en fais pas un choix logique, j'en fait une obligation incontournable dûe à sa structure même. Le carbone se lie avec lui-même et avec à peu prés n'importe qui. Pas du tout regardant sur ses fréquentations.
Au niveau cellulaire, je vois exactement le même scénario. La cellule répond aux lois des atomes qui la constitue. Un peu comme si l'atome contenait un micro-film que la cellule développe à son niveau et que l'organisme finit de développer à l'échelle macroscopique.
Et pour répondre à Lurch, partir une cellule à zéro donne infiniment (et je pèse mes mots) plus de possibilités que de partir d'organes de seconde main dont l'origine est douteuse (tu imagines ce qu'on aurait pu faire avec le cerveau d'Arthur?(désolé, peuple en délire, une parenthèse ouverte au seul initié)).

the fine print

2 commentaires:

lurch agoratoire a dit…

Ce que tu gagnes en possibilités, tu le paies deux fois et plus en probabilités.

l'improbable L.

Cam a dit…

T'es parti en vacances? Je manque de lecture qui fait... comment dire... tsé là... ah réfléchir!