vendredi 8 juin 2012

La gratuité scolaire

N'existe tout simplement pas. De la pré-maternelle aux études post-doctorales, toute forme d'enseignement a un coût.
Jusqu'au niveau secondaire, l'éducation est défrayée par les revenus gouvernementaux, dont les impôts et la taxe de vente.
Est-ce que l'éducation post-secondaire doit aussi l'être ?
Je ne crois pas.
Mais si les frais de scolarité doivent être abolis, ce devrait être à la suite d'une démarche concertée et, bien que le mot soit on ne peut plus galvaudé, démocratique.
Et il faudra bien identifier, non seulement à qui on refile la facture, mais quels seront les impacts sur les gens qui devront absorber ces coûts. J'utilise ici le mot "gens" dans son sens le plus large, parce qu'il pourrait s'agir de compagnies qui ne font probablement pas l'effort fiscal optimal dans le contexte actuel.
Reste une question fondamentale : si nous parvenons à générer de nouveaux revenus pour l'état, quelles seront nos priorités ?

le bénéfice du doute

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