On ne peut pas croire qu'il est possible de tirer trois films d'un livre aussi mince. Pas tellement au niveau du nombre de pages que de l'intensité du récit.
Bien sûr, il faut étirer la sauce.
Mais il faut voir avec quel brio on le fait.
Ça me rappelle la fameuse soupe au bouton.
Et s'il y a des longueurs, ça vaut quand même mieux que de mourir de faim.
la mort de toute façon
vendredi 5 avril 2013
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1 commentaire:
Je ne peux pas prétendre que nous sommes dans la lignée du Seigneur des anneaux mais en cette période de disette où même les James Bond me semblent d'une insipidité douloureuse, j'aime bien rêver d'un monde, sinon meilleur, du moins différent.
l'étranger devant l'écran
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