On nous l'a prédit cette année.
On la prédit encore pour l'année prochaine.
Un bon conseil, ne donnez pas tout ce que vous possédez, ceux à qui vous les donneriez périront en même temps que vous.
Mais d'avoir franchi la barre des sept milliards d'êtres plus ou moins humains sur cette planète donne quand même à réfléchir.
Évidemment, nous sommes trop nombreux.
Les ressources dont nous disposons, bien qu'abondantes, ne sont pas illimitées.
Si au moins nous les exploitions dans le respect de notre environnement.
La vieille expression : Tiens, fume ! prend ici sa pleine valeur.
Le réchauffement climatique n'est pas un mythe.
La disparition de nombreuses espèces n'en est pas un non plus.
Nous sentons tous qu'il va bien falloir qu'il se passe quelque chose et que ce quelque chose n'aura rien de bien agréable.
Ce ne sera probablement pas l'apocalypse. Je n'arrive pas à imaginer des catastrophes environnementales assez importantes pour améliorer le problème et l'hypothèse d'une nouvelle glaciation à court ou moyen terme me semble aussi peu probable.
J'opterais plutôt pour l'apparition d'un nouveau virus ou d'une nouvelle forme de maladie contagieuse qui viendra faire le ménage dans le dépotoir que nous continuons de créer et de procréer.
En attendant, ne lâchons pas, nous sommes bien partis pour tout détruire.
l'infiniment petit
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12 commentaires:
tu bosses pour hollywood toi aussi ?
http://www.youtube.com/watch?v=7H6wLvEDsFk
le petit cancre botté
le problème de rieNETTE, c'est qu'elle n'est PAS une bête.
tant pis!
t'es sûr que maïkeul jasconne est réellement décédée, ou il s'est réincarnée en lézard ?
http://www.youtube.com/watch?v=9D4QXHQsRHo
le yo
pourquoi La Rouge ne publie pas mes coms comme celui-ci :
la charlutte vient d'effacer le squattage opéré en insertion youtubique sur ce blog même il y a juste quelques minutes ou c'est moa qui hallucine ? sacré charlutte! dommage... j'avais bien aimé le com tout en rondeurs et témérités affecto-larmoyantes qui t'était adressé là-bas, ma rourouge. mais ce n'est pas grave.
et tiens :
ma petite chose qui sent si fort le savon après la douche, en sortant du travail. mon petit bout de gras en efforts surhumains. ma peau blanche comme l'have havre de non-paix enfin retrouvé durant l'exil nous réunifiant le soir, dans le salon télévisé. mon acre odeur de chatte écoeurante durant l'acte qui t'envoie là-haut pendant que j'attends que tu jouisses, et que celà se finisse enfin. ma moitié. ma soeur qui en redemande toujours juste un peu trop pour foutre une merde immonde dans mon vide affectif aux yeux perdus de chien sale. mon reproche d'égoïsme intime alors que j'ai déjà tout donné. tu finirais par me pomper jusqu'à l'antimatière se dévidant le long des fibres cancéreuses constituant ce qui me reste d'ossature si je ne trouvais plus en moi la force de rester aussi rigolo. juste pour toi.
et hop :
http://www.youtube.com/watch?v=L6By14YqS7A
"Le bleu glace d’un froid sibérien"...
fallait la sortir celle là...
bref
t'as bien fait d'arrêter le risperdal, mébon, c'est pas gagné pour autant on dirait... courage kan maime
envoie moi les vidéos de tes boxeurs thaïlandais version sumotoris de l'erre cyber, merchi
pardon neurone, mais ce lien existe bel et bien, je ne l'ai pas éventé :
ellachambrerouge.blogspot.com/2011/12/tehni.html
l'alcolo nombrilique faisant chier le petit chien cancéreux en phase terminale
à propos du monde réel :
http://www.youtube.com/watch?v=qOb-j8db8Uc&feature=related
le mec qui boit trop à cause de la solitude dans laquelle rieNETTE et ses potes nuls l'ont enfermé parce qu'ils avaient trop regardé un film de kubrick en boucle, en s'inspirant de la vie vécu dans les rues, aussi
je te fatigue, ou t'es déjà mort ?
le trou du qui
bon, je pense que rieNETTE, malgré ses apparences, reste une programmeuse de mort perverse aux trois quarts ravagée par des idéologies plus que douteuses, mais je n'en ai aucune preuve.
voilà.
c'est tout ce que je peux dire.
adieu
il ne faut pas attendre quoi que ce soit du neurone
il vient il va il publie il ne publie pas il rêve il crève, toujours tout en douceur
le clavier est sa seule victime malgré son innocence
parfois il se tait parce qu'il souffre parfois parce que sa batterie est à terre et que l'épuisement l'empêche de bouger
le souffre douleur
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