Il serait catégoriquement incorrect de regretter que monsieur Richard Bain ne soit pas parvenu à supprimer Pauline Marois.
Il faut toutefois considérer les avantages d'un tel évènement :
- le mouvement indépendantiste aurait repris du poil de la bête (non, non, ce n'est pas une autre allusion déplacée à madame Marois) en ayant un premier martyr
- le Québec aurait été débarrassé d'une première ministre qui est en train de démontrer que l'on peut faire pire que Jean Charest, ce qui n'est pas un mince exploit.
le pas correct
vendredi 8 février 2013
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