lundi 15 octobre 2012

Marc-Aimé Guérin

J'ai habituellement du mal à comprendre ce qui peut pousser une victime d'agression sexuelle à porter plainte 40 ans après les faits.
Dans le cas de monsieur Guérin, cela semble toutefois assez clair.
Une soif de vengeance.
Que la victime présumée affirme qu'aucun établissement d'enseignement ne devrait acheter de livres de cet éditeur est plus qu'inacceptable, c'est pire que bien des cas de propagande haineuse dénoncé par les communautés religieuses de tout acabit.
Derrière le travail de l'éditeur, il y a celui, méritoire, de ceux qui écrivent, illustrent et adaptent ces manuels.
J'ai vu ma douce passer des heures sur un tel travail, pour la simple reconnaissance d'un travail bien fait parce que du côté rémunération elle s'est retrouvée, et elle en était parfaitement consciente, bien en-dessous du salaire minimum.
La justice ne sert pas à punir les méchants, elle sert à compenser les victimes et à protéger la société.

le poing sur la table

Aucun commentaire: