samedi 13 février 2010

One more time

Le grand titre de la une du journal La Presse de ce matin : Qui blâmer ?
Avec en prime une photo de l'athlète en train de se tuer.
Je rage, j'en rage et j'enrage.
Je ne peux m'empêcher de déplorer cette culture dans laquelle chaque malheur doit être attribué à un coupable.
Il me semble que nous devrions être assez évolués pour réaliser que cette incessante chasse aux sorcières risque de faire plus de victimes que de gagnants.
Les accidents arrivent et, oui, il faut essayer de les prévenir mais la prévention ne sera jamais une protection absolue et, non, il n'y a pas toujours un coupable autre que la fragilité de la vie.

la fragilité de la vie

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Il se poser la question, autrement, comment améliorer les choses?

Personne n'a souhaité la mort d'un athlète, on en convient tous. Néanmoins, pour corriger une situation, il faut la comprendre.

La question que d'autres lugeurs se posent (je ne connais rien là-dedans), est celle-ci: comment est-il possible que l'on puisse être éjectée de la piste lors d'une chute? Pour répondre à cette question il faut procéder à une analyse.

Ceci étant dit, glisser sur un minuscule tobogan à 140 km/h comporte des risuqes, c'est un choix.

Accent Grave

lurch agoratoire a dit…

Pourquoi s'obstiner à attribuer un coupable à chaque malheur ou tragédie?

On voit bien que tu n'es pas familier avec le concept du "personal injury lawyer".

Qui, doit-on le préciser, ne sont pas des chasseurs de sorcières mais bien des chasseurs d'ambulance.

the golden tears

Anonyme a dit…

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